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économie française - Page 3

  • Promotion immobilière : enquête de conjoncture (avril 2016) (28 04 2016)

    Note de conjoncture publiée le 26 avril 2016 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=57&date=20160426.html

    En avril 2016, la demande de logements neufs s'améliore nettement selon les promoteurs immobiliers

    La demande de logements neufs est jugée plus forte

    En avril 2016, les promoteurs sont plus nombreux à estimer que la demande de logements neufs est forte. Le solde correspondant se redresse nettement et retrouve sa moyenne de long terme, pour la première fois depuis fin 2010.

    Les perspectives de mises en chantier se maintiennent

    En avril 2016, le solde d'opinion sur les perspectives de mises en chantier pour les trois prochains mois se maintient quasiment au niveau de sa moyenne de long terme. La hausse du solde correspondant aux logements destinés à la vente compense la baisse de celui concernant les logements destinés à la location. Les promoteurs sont légèrement moins nombreux qu'en janvier à signaler une baisse de leur stock de logements invendus. Le solde d'opinion correspondant reste supérieur à sa moyenne de long terme.

    Les promoteurs sont plus nombreux à juger que le prix moyen des logements a augmenté

    Les promoteurs sont plus nombreux qu'en janvier à signaler une hausse du prix moyen des logements neufs mis en vente ; le solde correspondant demeure cependant inférieur à sa moyenne de longue période. Ils sont plus nombreux à juger que l'apport personnel des candidats à l'acquisition d'un logement neuf a augmenté lors du trimestre précédent ; le solde est nettement supérieur à sa moyenne de longue période. Ils sont également plus nombreux à considérer que les moyens de financement consacrés aux achats de logements neufs augmenteront au cours du prochain trimestre ; le solde associé progresse de nouveau et reste supérieur à sa moyenne.

  • Economie France : Commerce de  détail (janvier) (12 04 2016)

    Note d’analyse économique publiée le 31 mars 2016 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=94&date=20160331.html

    En janvier 2016, le volume des ventes croît dans l'ensemble du commerce de détail et les services aux ménages

    Avertissement : à partir de cette publication, les séries d'indices de chiffres d'affaires sont produites selon une nouvelle méthodologie qui en améliore la qualité. Les séries ont été recalculées sur la période 1999-2015. Des informations complémentaires sur ces innovations méthodologiques sont disponibles sur la page web de cet indicateur.

    En janvier 2016, le volume des ventes rebondit nettement dans le commerce et réparation d'automobiles et de motocycles (+4,6 %). Il progresse de nouveau dans le commerce de détail hors automobiles et motocycles (+1,0 %), les services aux ménages (+1,0 %) et, très légèrement, dans l'hébergement et restauration (+0,2 %).

    Nouvelle hausse dans le commerce de détail hors automobiles et motocycles

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  • Climat des affaires (commerce, réparation auto) : octobre 2015 (27 10 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 22 octobre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=86&date=20151022.html

     En octobre 2015, le climat des affaires est au plus haut depuis 7 ans dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles

    Selon les chefs d'entreprise interrogés en octobre 2015, le climat des affaires est de plus en plus favorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles. L'indicateur qui le synthétise augmente d'un point et se situe à 110, niveau qu'il n'avait plus atteint depuis début 2008. Il est désormais nettement supérieur à sa moyenne de long terme (100).

    Une activité passée et prévue jugée bien orientée

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  • Stabilité du PIB au 2e trimestre 2015 (20 08 2015)

    Nous proposons des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note de synthèse économique publiée le 14 août 2015 par l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=26&date=20150814.html

    Comptes nationaux trimestriels - Premiers résultats du 2e trimestre 2015

    Au deuxième trimestre 2015, le PIB en volume est stable : 0,0 %, après +0,7 % au premier trimestre.

    Les dépenses de consommation des ménages ralentissent fortement (+0,1 % après +0,9 %) tandis que leur formation brute de capital fixe fléchit de nouveau (–1,6 % après –1,1 %). L'investissement des entreprises et des administrations publiques ralentit également. Au total, la demande intérieure finale (hors stocks) décélère fortement : elle contribue à l’évolution du PIB pour +0,1 point au deuxième trimestre 2015 (après +0,6 point début 2015).

    Les importations ralentissent (+0,6 % après +2,2 %), tandis que les exportations accélèrent (+1,7 % après +1,3 %). In fine, le solde extérieur contribue positivement à l’évolution du PIB (+0,3 point, après –0,3 point). À l’inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (–0,4 point, après +0,3 point le trimestre précédent).

    La production totale est quasi stable

     

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  • Consommation des ménages : 2e trimestre 2015 (06 08 2015)

    Nous proposons des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 31 juillet 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=19&date=20150731.html

    En hausse en juin (+0,4 %), la consommation des ménages en biens est quasiment stable au deuxième trimestre 2015 (–0,1 %)

    En juin 2015, les dépenses de consommation des ménages en biens accélèrent : +0,4 % en volume, après +0,1 % en mai. Cette accélération résulte principalement du dynamisme de la consommation alimentaire (+0,6 % en juin après 0,0 %). Cependant, sur l’ensemble du deuxième trimestre, les dépenses de consommation des ménages en biens sont quasi stables (–0,1 %), après une vive augmentation au premier trimestre (+1,5 %) : le recul de la consommation en énergie (–2,2 %) compense le dynamisme de la consommation alimentaire (+0,8 %).

     

    Biens fabriqués : hausse en juin, stabilité sur le trimestre

    Biens durables : ralentissement en juin et sur le trimestre

    Les dépenses en biens durables ralentissent légèrement en juin (+0,4 % après +0,7 % en mai). Les achats en équipement du logement augmentent (+0,4 %) après deux mois atones et les achats d’automobiles accélèrent légèrement (+0,7 % après +0,5 % en mai). En revanche, les achats d’autres biens durables se replient nettement (-0,7 % après +2,9 %), notamment du fait de l’horlogerie-bijouterie. Sur l’ensemble du deuxième trimestre 2015, les dépenses en biens durables ralentissent (+1,0 % après +1,9 %), notamment les dépenses d’équipement du logement (–0,1 % après +1,6 %). Les achats d’automobiles restent dynamiques (+2,0 % après +2,3 %).

    Habillement : hausse en juin, baisse sur le trimestre

    Les achats en textile, habillement et cuir augmentent en juin (+0,4 % après –0,1 %). Néanmoins, ils se replient sur l’ensemble du deuxième trimestre (–2,0 % après +1,6 %).

    Autres biens fabriqués : légère hausse en juin

    Les dépenses en autres biens fabriqués augmentent légèrement en juin (+0,2 % après –0,1 %), notamment en quincaillerie-bricolage. Elles sont quasiment stables sur l’ensemble du deuxième trimestre (–0,1 % après +1,4 %).

    Alimentaire : accélération en juin et sur le trimestre

    En juin, la consommation en produits alimentaires se redresse (+0,6 % après une stabilité en mai). Sur l’ensemble du deuxième trimestre, elle accélère (+0,8 % après +0,2 % au trimestre précédent).

    Énergie : repli sur le trimestre

    En juin, la consommation des ménages en énergie est quasi stable (–0,1 %).

    Sur l’ensemble du deuxième trimestre, la consommation d’énergie se replie (–2,2 % après +3,7 %), principalement en gaz et électricité.

    L’évolution de mai est inchangée

     

    Depuis la précédente publication, de nouvelles informations ont été intégrées, et les coefficients de correction des variations saisonnière ont été actualisés. Toutefois, l’évolution des dépenses de consommation des ménages en biens est inchangée en mai (+0,1 %).

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  • Prix agricoles : juin 2015 (04 08 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 31 juillet 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=80&date=20150731.html

     

    En juin 2015, les prix agricoles augmentent de 1,6 % par rapport à mai ; sur un an, ils diminuent de 3,4 %

    Les prix des céréales se redressent en juin (+5,8 %), sous l’effet de conditions climatiques défavorables aux États-Unis et en Europe occidentale.

    Les prix des oléagineux continuent d’augmenter en juin (+3,6 %), portant la hausse à près de 30 % sur neuf mois. La production mondiale de colza reculerait du fait de la baisse des rendements au Canada et en Europe.

    Les prix des vins fléchissent sur un an (-2,5 %). La dernière récolte a été bonne, sauf dans le Languedoc-Roussillon. Le prix des vins IGP (indication géographique protégée) et sans IG, massivement produits dans cette région, croît fortement (+13,1 % sur un an). Au contraire, le prix des vins d’appellation recule nettement (-8,0 % sur un an).

    Les prix des fruits frais augmentent par rapport à l’an dernier (+10,7 %). Notamment, la fraise se renchérit : la demande reste dynamique malgré l’avancement dans la saison et l’arrivée des premiers fruits d’été ; de surcroît, les importations espagnoles sont plus limitées cette année. Les prix de la cerise, des abricots et des pêches bondissent également, sous l’effet du recul sensible de leurs productions, lié aux aléas climatiques, tandis que le temps chaud est propice à leur consommation.

    Les prix des légumes frais sont stables (+0,4 % en glissement annuel). Le prix de la tomate évolue peu en raison d’une production stabilisée. La courgette se renchérit en raison d’une offre moins importante liée aux replis des cultures sous serre et des importations. En revanche, le prix du melon diminue sous l’effet d’une production abondante. La culture sous serre de ce légume a progressé, augmentant les rendements.

    En données corrigées des variations saisonnières, les prix des animaux sont quasi stables en juin (+0,3 %) mais décroissent sensiblement sur un an (-4,8 %). Le prix du porc perd plus de 10 % sur cette durée, sous l’effet de l’embargo russe et de la concurrence européenne, principalement allemande. Le prix du lait chute de 10 % sur un an, en raison du recul de la demande mondiale (notamment chinoise) et de l’embargo russe.

    Le prix d’achat des moyens de production décroît en juin

     

    En juin, les prix des consommations intermédiaires diminuent (-0,9 %), notamment du fait de la baisse des prix de l’énergie (-2,2 %) et des engrais (-3,2 %). Sur un an, les prix de l’énergie (-12,1 %) et des aliments pour animaux (-6,4 %) décroissent sensiblement. Les prix des biens des investissements sont quasi stables en juin (-0,2 %).